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1 février 2015 7 01 /02 /février /2015 14:42

Before New York’s Governor Andrew Cuomo announced a statewide ban on fracking last month,dozens of small towns had already banned the practice in their municipalities. Due to the local bans and existing state restrictions, 63% of the Marcellus Shale was already off limits when the statewide ban was announced, muddling the economic boon forecasted by industry proponents and creating the type of political atmosphere for Gov. Cuomo to act decisively.

2014 Goldman Prize winner Helen Slottje played a major role in working with communities to pass local bans, providing pro-bono legal assistance to towns across New York. Slottje and her team celebrated a major victory when the New York State Court of Appeals ruled in their favor that towns could indeed use zoning ordinances to ban fracking.

The statewide ban was based upon findings from a years-long state health study that determined fracking posed “significant public health risks.” Gov. Cuomo highlighted the fact that the decision was not a personal one, but rather one made out of deference to his health and environmental conservation commissioners. He said, “I am not a scientist. I’m not an environmental expert. I’m not a health expert. I’m a lawyer. I’m not a doctor. I’m not an environmentalist. So let’s bring the emotion down, and let’s ask the qualified experts what their opinion is.”

And the opinion of the experts is that fracking is too risky to go forward. “The potential risks are too great. In fact, they are not even fully known,” said acting state health commissioner Dr. Howard A. Zucker.

Environmental groups and anti-fracking activist hailed the decision and are hopeful that it will put pressure on other governors to take similar measures.

“It’s a real victory for people and democracy and the rights of communities for how they want to live,” said Slottje.

2014 Goldman Prize winner Helen Slottje with her husband and fellow activist, David.

2014 Goldman Prize winner Helen Slottje with her husband and fellow activist, David.

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1 février 2015 7 01 /02 /février /2015 14:30

Le ministre de l’Energie, Youcef Yousfi, a indiqué jeudi à Alger, que l’Algérie va revoir à la hausse la capacité de production de ses projets en énergies renouvelables en les portant à 25.000 MW au lieu de 12.000 MW arrêtés en 2011.

Le ministre a précisé que l’Algérie est en mesure de mener à terme ce projet d’envergure pour produire d’ici à 2030 plus d’un tiers des besoins du pays en électricité à partir de sources renouvelables.

Selon lui, le groupe Sonelgaz chargé de la mise en œuvre de ce projet a déjà achevé les études de faisabilité de l’actuel programme de 12.000 MW et a déjà des estimations sur le coût et la rentabilité de ces projets.

Il a ajouté que le gouvernement est décidé de diversifier le bouquet énergétique du pays en optant pour l’énergie solaire malgré ses coûts très élevés qui oscillent entre 10 à 12 DA le kilowatt contre 2,5 DA kWh pour l’électricité produite à partir du gaz.

L’actualisation du programme des énergies renouvelables vient en application des mesures édictées en décembre dernier par le président de la République qui avait chargé le secteur de l’Energie de promouvoir la rationalisation de la consommation interne d’énergie, tout en développement les énergies nouvelles et renouvelables.

Dans son plan national de développement des énergies renouvelables, l’Algérie avait prévu de dédier 10.000 MW supplémentaires à l’exportation sous réserve de satisfaire à trois conditions :

1) un partage de financements avec ses futurs partenaires,

2) une ouverture plus conséquente du marché européen de l’électricité,

3) un transfert de la technologie.



Pourquoi maintenant?wait and see!!
Pourquoi maintenant?wait and see!!
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27 janvier 2015 2 27 /01 /janvier /2015 11:09

Sans commentaire!!

MOINS DE POLLUTION  EN VILLE
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26 janvier 2015 1 26 /01 /janvier /2015 09:12

L'histoire des hydrocarbures en Algérie est passée par quatre étapes importantes :

1ère épisode : les 10 premières années de l’indépendance, le secteur énergétique Algérien était administré par l’ordonnance de 1958 ou les compagnies françaises dominaient notre richesse.

2ème épisode : de 1971 jusqu’à 1986 avec comme virage historique avec la nationalisation des hydrocarbures en février 1971, cette décision a permis à SONATRACH à partir de 1980 d’assurer l’essentiel de la production du pétrole et du gaz.

3ème épisode : de1986 jusqu’à 2005 avec la promulgation de la loi 86/14 (qui a été amendée en 1991) permettant la relance de la production des énergies fossiles en partenariat.

4éme épisode : de 2005 jusqu’à aujourd’hui (janvier2015), avec la fameuse loi de chakib khallil 05-07 et qui a été amendée en 2006.

L’industrie des hydrocarbures a été et elle encore est le socle de notre économie qu’on n’a pas su en profiter pour relancer notre agriculture, notre tourisme, nos services avec la mise en place des structures de base d’un pays émergent.

Notre économie de rente n’a fait qu’exporter le développement pour importer la régression durable traduite par des produits d’utilité réduite et non renouvelable.

Certes, notre sous-sol demeure l’un des sous-sols les plus riches au monde avec un potentiel en ressources hydrocarbures peu connu et/ou sous exploité par rapport à d’autre région très avancées dans le domaine sauf qu’ aussi que notre sous-sol recèle un potentiel en eau exceptionnel propriété indiscutable des génération futures d’autant plus que le défis prochain ne sera pas l’énergie mais plutôt l’eau.

Le rôle de l’Etat en tant que régulateur cherchant à introduire une plus grande attractivité fiscale pour améliorer ses revenus et dont sa mission de puissance public qu’on devrait le distinguer de société à vocation commerciale qui est Sonatrach seule ou en partenariat.

L’Algérie possède une riche expérience, et devrait incontestablement s’ouvrir à une économie de marché performante, cadre propice à la création de la richesse au développement économique durable et au progrès social, et qui sera accompagnée par le 5ème épisode de SH à savoir la période allant de 2015 à 2020 qu’on appelle période de transition énergétique (Mix énergétique) caractérisée par :

*L’économie d’énergie

*Le développement réel des énergies renouvelables

*La formation des ressources humaines aux nouvelles technologies d’extraction des sources d’énergies non conventionnelles

*La valorisation de nos économies d’énergies à l’exportation .

MOHAME Bariq

 4 étapes riches et une cinquième cruciale
 4 étapes riches et une cinquième cruciale
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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 10:32

Mieux comprendre la relation entre énergie et biodiversité permettrait d’articuler plus efficacement les politiques environnementales. Malheureusement, chez nous, elles sont caractérisées par leur cloisonnement thématique (énergie /climat, biodiversité, déchets, eau) et sur le terrain certaines mesures se révèlent contre productive et antinomique et par voie de conséquence elles deviennent un frein à une approche plus globale de l’écologie, c’est en résumé l’histoire naissante du gaz de schiste en Algérie.

bariq21 observe,audite et préconise

bariq21 observe,audite et préconise

L’histoire naissante du gaz de schiste en Algérie
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20 janvier 2015 2 20 /01 /janvier /2015 17:22
BARIQ21 assiste à l’atelier de la société civile au sein de l’Ambassade Américaine en Algérie.

Le 17 janvier dernier, quarante-cinq membres de la société civile parmi eux deux engagés de l’association BARIQ21 ont participé à un atelier sur le renforcement des capacités des associations organisé par l’Initiative de Partenariat au Moyen Orient (MEPI) au sein de l’Ambassade des Etats Unis d’Amérique en Algérie. Les participants ont discuté des bonnes pratiques sur plusieurs sujets tels que la collecte de fond, l’écriture de projet, l’image de marque, conception de projet et la communication.

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12 janvier 2015 1 12 /01 /janvier /2015 10:51

SDC10840Le plus intéressant est de se focaliser  sur la manière dont une société comme la notre peut s’emparer de questions environnementales. Est-ce que ça passe par les institutions ou plutôt par les citoyens ? Quel est également le rôle de la culture ? Changer une société, c’est aussi changer les modes de vie sans pour autant changer nos us ancestrales. La manière de vivre ensemble est également un énorme défi culturel, moins d’agressivité plus de respect mais  surtout les manières de construire un avenir positif. Nos enfants feraient-ils une partie de la solution ou une partie du problème ?de leur éducation dépend la réponse.1969344 596355613787662 231757822 n

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11 janvier 2015 7 11 /01 /janvier /2015 14:38

De l'Ouest ,le site de Bougaroune, entre le cap éponyme et Oued Zhor, dans le massif de Collo (Skikda), devrait être bientôt classé réserve naturelle.

L’objectif de ce classement est de protéger l’écosystème de cette immense zone soumise aux incendies et au surpâturage, s’étendant du Cap Bougaroune jusqu’à Oued Z’hor, en passant par Collo pour atteindre les limites administratives de la wilaya voisine de Jijel.

L’étendue devant être classée occupe une superficie d’environ 55.000 hectares et touche huit communes de la wilaya de Skikda, en l’occurrence Oued Zhor, Beni Zid, Ouled Attia, Chraïa, Collo, Kenouaâ, Zitouna et Khenak-Mayoune.

 

De l'Est ,la zone humide Guerbez-Sanhadja est déjà protègée

par la convention Ramsar SDC11246

(La Convention sur les zones humides, appelée Convention de Ramsar, est un traité intergouvernemental qui sert de cadre à l’action nationale et à la coopération internationale pour la conservation et l’utilisation rationnelle des zones humides et de leurs ressources).Ce sit est l’un des principaux réservoirs de la biodiversité du bassin méditerranéen d’une superficie de 42000 ha ; joue un rôle important notamment pour l’irrigation et le pâturage. Cependant, La croissance démographique ; l’expansion des centres habités ; et la stratégie nationale de développement agricole reposant sur l’intensification de l’agriculture et la promotion des investissements autour des exploitations agricoles, font peser des menaces importantes sur cette région ce qui présent un grand risque sur la santé publique et contribuent à la dégradation des caractéristiques écologique du complexe.SDC11244

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8 janvier 2015 4 08 /01 /janvier /2015 10:11
Dans le cadre de vulgarisation de l'information aux profit de la socièté civile,l'association bariq21 fait sa part!Prière faire de même.Merci 
Appel à projets - date limite : 15/02/2015

La Robert Bosch Stiftung et l'Institut International du Théâtre d’Allemagne soutiennent avec Changement de Scènes les coopérations internationales dans les arts vivants avec des partenaires de l'Europe de l'Est ou d'Afrique du Nord. DSC03074

Ils cherchent des projets qui abordent les débats actuels et les transformations sociales et les rendent visibles dans la réflexion artistique.

Les dossiers de candidatures devraient être déposés  jusqu´au 15 février 2015.

 

Pour plus d´informations, rendez-vous sur le site www.szenenwechsel.org

 


 

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7 janvier 2015 3 07 /01 /janvier /2015 11:33
DSC03237Consommer moins d’énergie et autrement : voilà bien une évidence qui s’impose tant d’un point de vue économiques que d’un point de vue environnemental, l'économie d'énergie est une question de conception et de recherches permanentes dans l'amélioration des performances des sociètés nationales ou privées au niveau de la réduction des pertes et consommations et de la valorisation maximum de la matière première. Elle est en plus une question de discipline quotidienne et de précision dans les procédures de surveillance. Telle est la leçon que l'on peut tirer de l'expérience de la cellule suivi économie d’énergie ailleurs ; expérience qui veut économiser plusieurs millions de DA par an. 

Il est évident que l’efficacité énergétique représente non seulement une diminution des émissions de gaz à effet de serre mais aussi un gain financier à court et moyen terme, alors que sur la démarche long terme,elle permettra de soutenir l’amélioration continue dans le domaine de l’efficience énergétique.

Beaucoup d’énergies  perdues et   beaucoup d’énergies  peuvent être récupérées dans nos entreprises pourvue que les acteurs soient sensibilisés  et adhèrent aux actions appropriées pour la maîtrise de l’énergie. "Inculquer l'économie d'énergie" dans l'esprit de tous les employés de nos unités, tel est l'objectif des campagnes de sensibilisation menées, mais en vain ! La  volonté de lutter contre le gaspillage implique tout le personnel, malheureusement nous enregistrons des écarts entre ce qu’on veut faire et ce qu’on peut faire dans nos activités visant à sensibiliser les consommateurs à une utilisation rationnelle de l'énergie causé par des goulets d’étranglements.  
 
 
Ces entraves sont  d’ordre: 
• Sociaux (absence d’une culture énergétique et environnementale ainsi qu’une méconnaissance des avantages par les utilisateurs que nous sommes)
• Economiques (prix bas des énergies par apport au marché international)
• Réglementaires (Carence de coordination entre les différentes structures)
• Techniques (manque de qualification et absence de formation approfondie en continue) 

A cet effet et afin de’’ bypasser ‘’ ces goulots pour l’émergence d’une culture d’efficacité énergétique d’une part, et pour arriver  à une efficience dans  le comportement « responsable énergétiquement »  des travailleurs et des managers de structures d’autre part, il faudrait une communication efficace et cela suppose de « démystifier » l’économie d’énergie, en dressant un constat honnête de la situation et mettre en avant les bénéfices de la démarche.

Afin d’y arriver, il est recommandable d’instaurer d’une manière volontariste la Norme 16001 sur l’efficacité énergétique (ISO 50001 ) via le management de l’énergie en l’intégrant  dans les système de management existants des entreprises (qualité, sécurité et environnement) ou bien de l’utiliser de manière indépendante et qui pourra être certifié afin d’obtenir l’assurance d’un management optimisé des consommations énergétiques à travers la politique des entreprises.

Cette norme est basée sur une approche comptable de l’énergie, structurée selon le principe de l’amélioration continue, elle constitue un véritable outil d’aide méthodologique et de pilotage pour atteindre ses objectifs en matière de performance énergétique de nos entreprises.

Elle s’appuie sur la méthodologie bien connue maintenant du PDCA :
• To Plan : Etablir les objectifs et les processus nécessaire en cohésion avec la politique énergétique
• To Do : Mettre en œuvre les processus définis
• To Check : Surveiller et mesurer les processus et rendre compte à la direction
• To Act : Mettre en place l’amélioration continue de la performance du système de management de l’énergie.

Elle se caractérise par la mise en oeuvre d’un système de management de l’énergie en réalisant:
• La maîtrise des flux d’énergie.
• L’identification les sources de perte d’énergie et les puits d’économie d’énergie.
• La réalisation des économies d’énergie et l’accroissement du rendement énergétique.
• La réalisation des économies financières à travers la réduction de la facture énergétique.
• La réduction  des coûts de production et l’amélioration de la productivité.
• La collecte, le suivi et l’analyse des données des équipements électriques (industriels, domestiques, l’éclairage).
• la mise en oeuvre d’un plan de comptage de l’énergie pour le suivi permanent
• un plan d’amélioration des ses pratiques opérationnelles la mise en oeuvre d’un plan d’actions à retour sur investissement rapide
• le suivi périodique de ses consommations d’énergie pour pérenniser sa démarche d’efficacité énergétique
• L’élaboration des indicateurs de performance des équipements et de leur fonctionnement.
• l’évaluation des  sources d’économies potentielles d’ordre pratique notamment quant à la sécurité et le technique.

Nonobstant les efforts déjà fournis et les recommandations  proposées par bariq21, on est convaincu que l’adoption de la démarche  normative  de la problématique de l’utilisation rationnelle de l’énergie serait d’un apport considérable et d’une assurance indéfectible à l’instauration d’un management optimisé des consommations énergétiques
P/l'association
Le président
MOHAMED TABBOUCHE.
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