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25 décembre 2014 4 25 /12 /décembre /2014 14:52
Les enjeux liés aux relations entre la biodiversité et la santé concernent la politique de santé publique qui se doit notamment d’identifier et de réduire les risques éventuels pour la santé liés à des facteurs d’environnement susceptibles de l’altérer.
Les   risques   sanitaires   à   diffusion   rapide   se renforcent et se diversifient, sous l’effet de plusieurs phénomènes qui se conjuguent : 
Apparition de nouveaux agents   pathogènes   (agents   infectieux comme le virus pandémique H1N1 ou le SRAS, toxiques, allergènes), du fait de modifications des conditions   environnementales   ou   de mutations génétiques   (bactéries   hautement résistantes aux antibiotiques) ; évolution de situations endémiques, extension des zones d’implantation de vecteurs potentiels (par exemple la présence d’Aedes Albopictus  sur le pourtour méditerranéen) pouvant favoriser la propagation des maladies à transmission vectorielle ; facilité et vitesse de circulation des agents pathogènes et des vecteurs.

La question qui se pose d'elle-même:existe-il,DSC01220un plan national santé-environnement??????

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25 décembre 2014 4 25 /12 /décembre /2014 11:51

Qui freine alors!!!!!

Selon une étude ,Dii et Sonelgaz ont analysé les obstacles et les opportunités du développement des EnR en Algérie, en particulier l’exportation de l’électricité d’origine renouvelable de l’Algérie vers l’Europe. L’étude esquisse le cadre d’un modèle économique pour un projet d’un volume de 1 000 MW utilisant les technologies solaires (PV et CSP) et éoliennes, et incluant une part de 10% destinée à la couverture de la demande domestique. L’étude démontre que l’électricité PV et éolienne serait compétitive dès aujourd’hui par rapport à celle produite dans les centrales à gaz algériennes au prix international du gaz. Les centrales CSP pourraient en outre proposer un modèle économique rentable car elles requièrent un soutien financier moins important que celui nécessaire à leur exploitation en Europe._0104.jpg

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24 décembre 2014 3 24 /12 /décembre /2014 09:38

Merci à vous et année 2015 JJP

Après près de huit ans, notre vision est devenue une réalité. De nouveaux partenariats ont été mis en place, de nouvelles dimensions ont été explorées et nouvelles communautés ont été retrouvées.

Merci à vous tous d'être partie précieuse de notre croissance.

Votre soutien continu  a alimenté notre succès et nous continuons  à se développer pour devenir parmi les institutions de renforcement des capacités pour les jeunes d’Algérie et une association à valeur ajoutée de premier ordre. Nous ne pouvions pas réaliser nous-mêmes, il a fallu votre appui, encore une fois un grand  Merci.

Un merci spécial à vous en tant que partenaire privilégier. Votre confiance et votre  engagement ont constitué le pilier majeur à faire que les bonnes actions créent des effets d'entraînement pour un changement positif dans la vie des citoyens  que nous servons et des générations futures que nous protégeons.

Aujourd'hui, je suis heureux de dire que 2014 a été une  difficile  année  mais une année réussie avec tous les jalons importants obtenus. Avec un tel sens aigu de la propriété de nos parties prenantes, le renforcement de la confiance de nos partenaires et des bénéficiaires de la société civile à Skikda, couplés avec une  détermination pure, collective, et un  travail acharné de l’équipe bariq21, nous avons parcouru un long chemin qui nous donne la foi que nos objectifs de transformation  sur le plan de la protection de l’environnement, de la maitrise de l’énergie et de la citoyenneté seront atteints.

Comme nous nous tournons vers 2015, nous ne serons pas reposer sur nos lauriers. Ce sont des moments de grands changements et des activités intenses dédiés pour le bien de la société civile à Skikda, en Algérie et dans la région MENA.

En 2015 nous serons  à l’écoute de ce qui se passe ailleurs, nous prenons tout ce qui est positif pour nous et pour   la société civile  en diapason bien sure  avec notre culture, notre identité, de nos origines et des horizons qu’on veut atteindre.

Enfin, je tiens à remercier chacun d'entre vous pour le grand rôle que vous avez joué dans le développement de notre organisation et saisir cette occasion pour vous souhaiter à tous le meilleur pour une année « 2015 JJP » Joyeuse, Juste et  Prospère.

Pour l’association

Le président00487.jpg

MOHAMED TABBOUCHE

 

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23 décembre 2014 2 23 /12 /décembre /2014 08:44

Une Première en France

Société d'Economie Mixte locale, SERGIES a été créée par les 265 communes adhérentes au Syndicat Intercommunal d'Electricité : ENERGIES VIENNE, afin de développer la production d'électricité et de gaz d'origine renouvelable. Elle réalise des parc éoliens industriels, photovoltaïques, des unités de méthanisation ou de biogaz.


Elle expérimente actuellement 3 démarches de financement citoyen afin de permettre aux habitants d'investir directement dans des centrales de production d'origine renouvelable : ronde_planete.jpg


1. Dépôt à terme, en partenariat avec le Crédit Agricole qui a financé un parc éolien


2. Emission d'obligation, en partenariat avec la plate forme de souscription sur internet LUMO, pour financer 2 grandes toitures photovoltaïques (souscription en cours)


3. Entrée au capital social d'un parc éolien, du fonds d'investissement citoyen ENERGIE PARTAGEE, projet en cours d'acquisition

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22 décembre 2014 1 22 /12 /décembre /2014 11:47
C’est en Australie qu’une équipe de chercheurs vient d’annoncer avoir battu un nouveau record de rendement pour un panneau photovoltaïque, qui est parvenu à transformer 40% de la lumière en électricité. Ce record a été obtenu en...
... utilisant des cellules photovoltaïques classiques associées à un filtre optique captant une plus large part du spectre solaire. Une solution simple et qui pourra trouver rapidement une application industrielle.

Un record de rendement de 40% de conversion de la lumière…
 
Des tests menés grandeur nature par une équipe de chercheurs de l’Université des Nouvelles Galles du Sud (UNSW) à Sydney, en Australie, ont conduit à battre un nouveau record en matière de rendement photovoltaïque. Ce record a été confirmé par le Laboratoire National des Energies Renouvelables (NREL) américain après de nouveaux tests aux Etats-Unis. L’étude est publiée dans le journal « Progress in Photovoltaics ».
 
Le panneau solaire testé parvient à convertir en électricité 40% de la lumière solaire qui le frappe. Ce taux constitue un record pour un panneau photovoltaïque utilisant des cellules classiques « d’une autre manière » (d’après le Dr Mark Keevers qui a piloté le projet) et pour lesquelles le rendement maximum se situait à 33% de conversion. Un tel rendement (40%) avait jusqu’ici été atteint uniquement par des centrales solaires à concentration.
Pour atteindre un tel niveau, le prototype australien utilise un filtre optique passe-bande sur mesure, permettant de capter une partie du spectre solaire jusqu’ici non utilisée et généralement perdue. Cette technique conduit donc les cellules solaires à convertir plus de lumière.
 
… atteint en utilisant des cellules solaires déjà commercialisées
 
Les tests des chercheurs de l’université australienne ont été menés en partenariat avec la société australienne RayGen Resources de fabrication de tours solaires et de panneaux photovoltaïques à concentration, et la société américaine Spectrolab spécialisée dans la fabrication de composants électroniques et de cellules solaires.DSC00337
 
Les résultats de ces recherches pourraient être « particulièrement pertinents pour les tours d’énergie photovoltaïque qui sont développées en Australie », selon le Docteur Martin Green, considéré comme le « père du photovoltaïque ».
Cette réussite est porteuse d’espoirs car sa mise en œuvre industrielle pourrait être rapide : en effet, le panneau n’utilise pas de cellules solaires différentes de celles déjà fabriquées. Toutefois, de nouveaux prototypes doivent encore être développés pour affiner la technologie avant sa commercialisation.
 
Le rendement des panneaux photovoltaïques est toujours relativement faible, ce qui porte atteinte à sa compétitivité et constitue un enjeu majeur pour le développement de l’énergie solaire.
 
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22 décembre 2014 1 22 /12 /décembre /2014 11:15

 

Le ministre saoudien du Pétrole a déclaré dimanche que le pays ne baisserait pas sa production pour faire remonter des cours de pétrole en chute libre même si des pays non membres de l'Opep le faisaient, tout en démentant une nouvelle fois démenti que l'Arabie saoudite était à la manoeuvre à des fins géopolitiques.

"Si (les pays en dehors de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole, Opep) veulent réduire leur production, libre à eux. Nous ne la baisserons pas, l'Arabie saoudite ne la baissera certainement pas", a dit Ali al Naïmi lors d'une conférence à Abou Dhabi.

Il a ajouté être "insatisfait à 100%" avec le niveau actuel des cours, tout en ajoutant qu'ils finiraient pas remonter sans pouvoir dire quand.

Abdullah al-Badri, le secrétaire général de l'Opep également présent à la conférence réunissant les pays exporteurs de pétrole arabes, a dit à Reuters espérer un rebond de l'or noir vers la fin du second semestre 2015.

Depuis son pic de l'année de quelque 115 dollars le baril atteint en juin, le Brent a perdu près de 50% en raison du décalage croissant entre une offre abondante et une demande atone.

Le recul de l'or noir s'est accéléré depuis la fin novembre, à la suite notamment de la décision de l'Opep de ne pas baisser sa production du pétrole, avec un objectif inchangé de 30 millions de barils par jour.

Pour Ali al Naïmi, la responsabilité de la baisse des cours incombe aux pays producteurs qui n'appartiennent pas à l'Opep et à des spéculateurs.

Le ministre du Pétrole des Emirats Arabes Unis a exhorté tous les pays producteurs à ne pas relever leur production en 2015, notant que ceci permettrait une stabilisation rapide des prix.

"Nous invitons tout le monde à faire ce que l'Opep a fait et de faire un pas vers la stabilisation du marché en ne proposant pas de produits pétroliers supplémentaires en 2015. Si tout le monde respecte la décision de l'Opep, le marché va se stabiliser rapidement", a dit Suhail Bin Mohammed al-Mazroui.

PAS DE COMPLOT!!!!!?4 asdimage001

Selon le ministre du Pétrole saoudien, la faiblesse actuelle des cours du pétrole va contribuer à relancer la croissance économique mondiale et la consommation de pétrole. "J'ai confiance dans une amélioration du marché du pétrole", a-t-il dit lors d'une conférence à Abu Dhabi.

"Les cours actuels n'encouragent pas l'investissement dans le secteur de l'énergie, mais ils stimulent la croissance économique mondiale, ce qui conduira à terme à une augmentation de la demande mondiale (de pétrole)", a expliqué Ali al Naïmi.

Le ministre a parallèlement démenti que la politique pétrolière du royaume sunnite soit dictée par des desseins géopolitiques.

"Les discussions sur un complot que mènerait l'Arabie saoudite à des fins politiques sont sans fondement et démontrent une méconnaissance du sujet. La politique pétrolière du royaume s'appuie sur une stricte base économique, rien de moins, rien de plus", a-t-il affirmé.

L'Iran chiite estime que cette chute des cours, qui affaiblit son économie déjà étranglée par les sanctions occidentales, est une manipulation menée par son grand rival dans la région et ses alliés occidentaux.

Ryad pourrait notamment chercher à réduire le soutien qu'apportent l'Iran, mais aussi la Russie, au régime syrien de Bachar al Assad et, plus globalement, à contrer l'influence croissante de Téhéran dans la région.

D'autres jugent que la politique saoudienne de maintien des cours à un niveau faible viserait à enrayer l'essor des gaz de schiste aux Etats-Unis.

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21 décembre 2014 7 21 /12 /décembre /2014 10:39

01275.jpgL’aventure PLAN commence en 2011, lorsqu’un groupe d’étudiants de l’Université du New Hampshire prend conscience de l’énorme gaspillage qui suit le départ des étudiants à la fin de chaque année universitaire. Faute d’options de stockage pour leurs affaires, les étudiants se débarrassent de toutes sortes d’objets encore parfaitement utilisables. Alors qu’habituellement le campus produit 25 tonnes de déchets par mois, à la fin du printemps, ses bennes débordent de plus de 125 tonnes de déchets. A l’automne, c’est le mouvement inverse qui se produit : les étudiants qui reviennent ou arrivent pour la première fois sur le campus rachètent neufs ces mêmes objets auprès de la grande distribution. 

Pour mettre fin à ce cycle de gaspillage, ce groupe d’étudiants crée le programme « Trash 2 Treasure » (en Français « Du déchet au trésor »). L’objectif : collecter au printemps les objets réutilisables que jettent les étudiants, les nettoyer et les trier pendant l’été, pour les revendre aux étudiants lors de leur retour sur le campus à l’automne. La première vente organisée par « Trash 2 Treasure » est un vrai succès qui permet de dégager des bénéfices pour lancer le premier programme auto-financé, géré par des étudiants. Depuis maintenant trois ans, Trash 2 Treasure a permis de détourner 110 tonnes de déchets de la mise en décharge, de donner 5 tonnes de nourriture et de vêtements à des centres d’hébergement locaux, et de faire économiser aux étudiants et à leurs familles plus de 216 000 dollars en équipement. L’Université du New Hampshire est également gagnante, puisqu’elle a pu économiser 10 000 dollars en dépenses de gestion des déchets.

"PLAN" : DIFFUSER LE ZERO WASTE SUR TOUS LES CAMPUS AMÉRICAINSDSC01537

En 2012, à la fin de leurs études, Alex Freid et Brett Chamberlin, deux des étudiants à l’initiative de Trash 2 Treasure, réalisent que ce qui avait commencé comme un projet étudiant pourrait prendre une plus grande ampleur. Ils créent alors le Post-Landfill Action Network (PLAN), une organisation à but non lucratif dont l’objectif est de lancer des projets étudiants de réduction des déchets sur les campus américains pour les emmener vers le Zero Waste.

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16 décembre 2014 2 16 /12 /décembre /2014 09:57

 

Skikda le 16/12/2014

Communiqué

 

Permettez nous de vous informer que notre association Photos-0171 pour la promotion des énergies renouvelables et du développement durable à été retenue par Mme Cristina Amaral Coordonnatrice Résidente ONU Algérie pour participer à l’exercice CdCS 2016-2019.

 

Effectivement, dans le cadre de la formulation du prochain Cadre de Coopération stratégique  (CdCS) 2016-2019 le système des nations Unies en Algérie organise un exercice de préparation de programmation commune avec les partenaires nationaux.

 

L’objectif de cet exercice est de renforcer les capacités des participants  à la priorisation stratégique basé sur les principaux défis nationaux identifiés dans l’Analyse Pays provisoire, le Plan d’Action du Gouvernement et une analyse des avantages comparatifs de l’Equipe de Pays des Nations Unies. Cet exercice va aboutir à la production d’une matrice à titre indicative.

 

L’association bariq21 est  cordialement invitée de prendre part à cet exercice en tant que représentant de la société civile. L’atelier aura lieu le 17 et 18  décembre 2014 à la résidence EL Mithak de 9h00 – 16h30.

 

Les Nations Unies souhaitent que le processus de conception de ce nouveau cadre de coopérations stratégique soit le plus inclusif possible raison pour laquelle ils  aimeront nous  y associer en tant que  représentant de la société civile.

 

Écologiquement votre,

 

P/l’association

 

Le Président

 

MOHAMED TABBOUCHE

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15 décembre 2014 1 15 /12 /décembre /2014 09:59
INTERNATIONAL SUMMER SCHOOL IN FORCED MIGRATION
06-24 July 2015
Refugee Studies Centre, University of Oxford
www.rsc.ox.ac.uk/summer-school
SAM 0478
Applications are invited for this year's International Summer School in Forced Migration, to be held at Wadham College, Oxford. The Summer School, now in its 26th year, offers an intensive, interdisciplinary and participative approach to the study of forced migration. It aims to enable people working with refugees and other forced migrants to examine critically the forces and institutions that dominate the world of the displaced. Beginning with reflection on the diverse ways of conceptualising forced migration, the course considers political, legal and wellbeing issues associated with contemporary displacement. Individual course modules also tackle a range of other topics, including globalisation and forced migration, and negotiating strategies in humanitarian situations.
The participants.
Typically comprising more than 40 nationalities, Mid-career and senior practitioners involved with assistance and policymaking for forced migrants and researchers specialising in the study of forced migration. The course, which is residential, is held in Oxford. Teaching is conducted in English. 
The teaching.
Lecturers and tutors include research staff, academics and professionals from the Refugee Studies Centre and other world-class institutions, drawn from a number of disciplines and practices including law, anthropology, politics, and international relations.
Sponsorship
Asfari Foundation and Saïd Foundation bursaries are available for Summer School candidates who work on refugee-related issues from Palestine, Lebanon and Syria (or Palestinians and Syrians resident in the Arab world). Candidates wishing to be considered for a bursary must apply directly via the International Summer School office and not the Foundations. Please note the deadline for all bursary applications to the International Summer School is 1 March 2015. For any enquiries please contactsummer.school@qeh.ox.ac.uk
Fees: £3,300$
Applications Online: www.rsc.ox.ac.uk/summer-school
For further information and an application form, please visit our website or contact Heidi El-Megrisi International Summer School Manager Refugee Studies Centre Oxford Department of International Development University of Oxford
3 Mansfield Road
Oxford, OX1 3TB
United Kingdom
tel: +44 (0)1865 281728/9
fax: +44 (0)1865 281730
email: summer.school@qeh.ox.ac.uk  
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14 décembre 2014 7 14 /12 /décembre /2014 10:49
Le manque de dynamisme économique et la “paresse” technologique de notre pays, comparé au dynamisne des pays du Sud-Est asiatique ou de certains pays latino-américains. Le développement de l’économie de rente (hydorcarbures, transferts de nos immigrés, aides extérieures, etc.) et sa généralisation au cours de nos 50 années d'indépendance constituent un facteur majeur non seulement de retard économique, mais aussi de déficit démocratique .
Comment passer d’une économie rentière à une économie pleinement productive utilisant toutes les capacités dormantes de l'Algérie ?
Parmi ces dynamiques négatives qui paralysent à la fois le développement économique et technologique et celui  de la démocratie et de l’Etat de droit, on doit impérativement  mentionner l’amplification et l’élargissement de l’économie de rente depuis un demi siècle, caractéristique majeure de l’économie Algérienne. 
Certes, la rente est une composante essentielle du fonctionnement de toute économie et de la génération de revenus publics et privés. Toute la question, cependant, se trouve dans  le mode d’appropriation et de gestion de cette rente, ainsi que de son utilisation au  bénéfice de la collectivité et du progrès technique et scientifique.
 
Il faut impérativement entrer dans la réalité d’une sous performance économique permanente et l’analyse de ses causes peut permettre  d’entrer enfin dans un cercle vertueux d’innovation, d’équité socio-économique et de plein emploi et pour cela Il faut  briser la pesanteur intellectuelle, voir la paresse et la facilité dans  l’analyse, qui dominent toute approche de l'Algérie  exclusivement centrée sur une anthropologie rentière et26174 106026996088942 100000449272488 147502 3651761 s[1]religieuse bien qu’elle ait montré depuis longtemps ses limites.
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