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11 janvier 2015 7 11 /01 /janvier /2015 14:38

De l'Ouest ,le site de Bougaroune, entre le cap éponyme et Oued Zhor, dans le massif de Collo (Skikda), devrait être bientôt classé réserve naturelle.

L’objectif de ce classement est de protéger l’écosystème de cette immense zone soumise aux incendies et au surpâturage, s’étendant du Cap Bougaroune jusqu’à Oued Z’hor, en passant par Collo pour atteindre les limites administratives de la wilaya voisine de Jijel.

L’étendue devant être classée occupe une superficie d’environ 55.000 hectares et touche huit communes de la wilaya de Skikda, en l’occurrence Oued Zhor, Beni Zid, Ouled Attia, Chraïa, Collo, Kenouaâ, Zitouna et Khenak-Mayoune.

 

De l'Est ,la zone humide Guerbez-Sanhadja est déjà protègée

par la convention Ramsar SDC11246

(La Convention sur les zones humides, appelée Convention de Ramsar, est un traité intergouvernemental qui sert de cadre à l’action nationale et à la coopération internationale pour la conservation et l’utilisation rationnelle des zones humides et de leurs ressources).Ce sit est l’un des principaux réservoirs de la biodiversité du bassin méditerranéen d’une superficie de 42000 ha ; joue un rôle important notamment pour l’irrigation et le pâturage. Cependant, La croissance démographique ; l’expansion des centres habités ; et la stratégie nationale de développement agricole reposant sur l’intensification de l’agriculture et la promotion des investissements autour des exploitations agricoles, font peser des menaces importantes sur cette région ce qui présent un grand risque sur la santé publique et contribuent à la dégradation des caractéristiques écologique du complexe.SDC11244

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8 janvier 2015 4 08 /01 /janvier /2015 10:11
Dans le cadre de vulgarisation de l'information aux profit de la socièté civile,l'association bariq21 fait sa part!Prière faire de même.Merci 
Appel à projets - date limite : 15/02/2015

La Robert Bosch Stiftung et l'Institut International du Théâtre d’Allemagne soutiennent avec Changement de Scènes les coopérations internationales dans les arts vivants avec des partenaires de l'Europe de l'Est ou d'Afrique du Nord. DSC03074

Ils cherchent des projets qui abordent les débats actuels et les transformations sociales et les rendent visibles dans la réflexion artistique.

Les dossiers de candidatures devraient être déposés  jusqu´au 15 février 2015.

 

Pour plus d´informations, rendez-vous sur le site www.szenenwechsel.org

 


 

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5 janvier 2015 1 05 /01 /janvier /2015 10:42

L'Allemagne a l'intention d'interdire l'exploitation du gaz de schiste "au moins jusqu'à 2021", rapporte l'AFP. A cette date, un rapport d'experts doit intervenir pour aider les pouvoirs publics à adopter les mesures adéquates. 

Au-dessus de 3.000 mètres, la fracturation hydraulique pour récupérer le gaz de schiste sera donc interdite, précise l'AFP. En effet, si le gaz de schiste est contenu dans des roches sédimentaires situées entre 1 et 3 kilomètres de profondeur, les nappes phréatiques se trouvent quant à elles à faible profondeur. 

Ce projet d'interdiction est porté par le ministre de l'Economie et de l'Energie, Sigmar Gabriel, et la ministre de l'Environnement, Barbara Hendricks, avec pour toile de fond la méfiance croissante de l'opinion publique allemande envers le procédé de fracturation hydraulique. "L'opposition au « fracking » dépasse les écologistes", explique Les Echos, qui cite les brasseries locales et les régies municipales, inquiètes de la qualité de l'eau.  

Berlin n'a en revanche pas exprimé de volonté d'interdire la fracturation hydraulique en matière de gaz naturel conventionnel, mais elle sera mieux encadrée, notamment s'agissant des produits utilisés.oil

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4 janvier 2015 7 04 /01 /janvier /2015 11:40

SDC11244Le groupe algérien, spécialisé dans l’électronique, Condor, dont le siège social est basé à Bordj Bou Arréridj a communiqué le prix des panneaux photovoltaïques fabriqués dans son unité Energie Solaire. Le coût moyen du Watt annoncé, en hors taxes, est de 95 DA.

Il s’agit de panneaux photovoltaïques monocristallins et polycristallins dont la puissance varie entre 70 Watts et 285 Watts. La division "énergies renouvelables" du groupe précise que les panneaux en question sont déjà disponibles en stock et que d’autres puissances peuvent être fabriquées sur commande.

Code Désignation P.U. HT P.U. TTC
CEM90M-36 Panneau Solaire 90 W Mono 8.550,00 DA 10.003,50 DA
CEM100M-36 Panneau Solaire 100 W Mono 9.500,00 DA 11.115,00 DA
CEM200M-72 Panneau Solaire 200 W Mono 19.000,00 DA 22.230,00 DA
Code Désignation P.U. HT P.U. TTC
CEM70P-18 Panneau Solaire 70 W Poly 7.000,00 DA 8.190,00 DA
CEM145P-36 Panneau Solaire 145 W Poly 13.050,00 DA 15.268,50 DA
CEM235P-60 Panneau Solaire 235 W Poly 21.150,00 DA 24.745,50 DA
CEM240P-60 Panneau Solaire 240 W Poly 21.600,00 DA 25.272,00 DA
CEM280P-72 Panneau Solaire 280 W Poly 25.200,00 DA 29.484,00 DA
CEM285P-72 Panneau Solaire 285 W Poly 25.650,00 DA 30.010,50 DA

Condor indique que la fabrication du module photovoltaïque passe par l’encapsulation qui a pour but de regrouper les cellules en série ou en parallèle afin de permettre leur utilisation à des tensions et à des courants pratiques tout en assurant leur isolation électrique et leur protection contre les facteurs extérieurs.

Cette protection doit permettre une durée de vie des modules photovoltaïques supérieure ou égale à 25 ans. L’encapsulation consiste à la mise en sandwich d’un ensemble de composants constitué de cellules solaires, de matériau encapsulant (EVA), plaque arrière tedlar (BACK SHEET), une plaque de verre solaire et un cadre en aluminium.

Le module photovoltaïque est composé de cellules solaires qui ont les mêmes caractéristiques électriques, connectées entre elles puis enrobées dans une résine transparente, l’EVA. Les faces avant et arrière des cellules sont recouvertes respectivement d’un verre et d’un film multicouche étanche (back sheet). La cellule solaire est l’élément le plus important dans un module PV parce qu’elle génère la puissance électrique suite à l’excitation des irradiations solaires. Condor Electronics utilise deux types de cellules, monocristalline et polycristalline.

La résine transparente utilisée est une résine thermosensible, formée d’Ethylène Vinyle Acétate "I’E.V.A’’, traitée thermiquennent entre 150 et 160°C. Les quatre caractéristiques qui ont fait de l’EVA un matériau de choix pour l’encapsulation sont sa résistivité électrique très élevée le classant comme un très bon isolant électrique, ses températures de fusion et de polymérisation relativement faibles, sa très faible absorption d’eau et enfin, sa bonne transmission optique.

Le verre qui couvre les panneaux de Condor est un verre solaire trempé de 3,2 à 4 mm d’épaisseur avec une faible teneur en fer afin de permettre une meilleure transmission optique.

La face arrière du module est constituée d’un film multicouches, le tedlar, pour améliorer les performances électriques et mécaniques du module. Le cadre des panneaux est un profilé en aluminium anodisé, il sert à : protéger les bords du verre, améliorer la résistance mécanique globale du module, améliorer le degré d’étanchéité avec injection de gel de silicone et faciliter l’installation et le transport.

La boîte de jonction photovoltaïque abrite toutes les parties porteuses de courant afin de réduire les risques d’incendie, de choc électrique et des blessures de personnes par sa robustesse.

Enfin, les modules photovoltaïques de Condor Electronics répondent aux standards et normes internationaux. L’usine est dotée d’un laboratoire de contrôle à la réception des matières premières et composants ainsi que des équipements d’inspection et de contrôle au niveau de la chaine de production, indique la même source.

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4 janvier 2015 7 04 /01 /janvier /2015 11:29
4 entreprises se sont conformées en 2014 à la norme ISO 26000:

Trois entreprises nationales et une entreprise suédoise implantée en Algérie vont bénéficier d'un accompagnement technique pour leur certification à la norme ISO 26000 relative à la responsabilité sociétale des entreprises (RSE), a indiqué mercredi à Alger M. Bendaoud Djenidi, coordinateur national du programme RS MENA.

Il s'agit de l'entreprise publique Naftal (branche carburant) et des entreprises privées "Amimer Energie", Multi Catering de Hassi Messaoud  ainsi qu'Oriflame, une filiale d'un groupe suédois de cosmétique implantée en Algérie, a-t-il précisé, en marge de la 2e journée nationale de sensibilisation sur l'implémentation de la norme ISO 26000.DSC03074

Dénommé RS MENA (responsabilité sociétale pour région Moyen orient-Afrique du Nord), ce programme régional d'accompagnement qui s'étale sur la période 2012-2014 dans sa deuxième phase est piloté par l'Organisation internationale de normalisation (ISO) en collaboration avec l'Agence suédoise de développement international.

Au total, huit pays sont ciblés par cette initiative régionale, à savoir l'Algérie, le Maroc, la Tunisie, l'Egypte, la Jordanie, la Syrie, le Liban et l'Iraq.

Pour M.Bendaoud, la responsabilité sociétale est le comportement socialement responsable d'une organisation en matière d'éthique, de transparence, de respect de normes internationales et de droits de l'homme. "L'instauration d'un climat de confiance par le respect des droits du travailleur en termes de salaire et d'avantages, permettra à ce dernier d'être plus performant et rentable", a-t-il expliqué. La certification à cette norme est volontaire et non obligatoire pour "inciter les entreprises à l'adopter sans les contraintes de la loi. Le volontariat assure la pérennité de l'adoption de la norme 26000", a-t-il estimé.

Depuis le lancement de ce programme en 2011 à ce jour, a-t-il poursuivi, 16 organismes algériens ont adopté cette norme dont le laboratoire public de Contrôle des matériaux de construction (CETIM) de Boumerdes et le groupe privé d'agroalimentaire NCA Rouiba.

 

Une bonne chose pour le citoyen Algérien!!

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22 décembre 2014 1 22 /12 /décembre /2014 11:15

 

Le ministre saoudien du Pétrole a déclaré dimanche que le pays ne baisserait pas sa production pour faire remonter des cours de pétrole en chute libre même si des pays non membres de l'Opep le faisaient, tout en démentant une nouvelle fois démenti que l'Arabie saoudite était à la manoeuvre à des fins géopolitiques.

"Si (les pays en dehors de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole, Opep) veulent réduire leur production, libre à eux. Nous ne la baisserons pas, l'Arabie saoudite ne la baissera certainement pas", a dit Ali al Naïmi lors d'une conférence à Abou Dhabi.

Il a ajouté être "insatisfait à 100%" avec le niveau actuel des cours, tout en ajoutant qu'ils finiraient pas remonter sans pouvoir dire quand.

Abdullah al-Badri, le secrétaire général de l'Opep également présent à la conférence réunissant les pays exporteurs de pétrole arabes, a dit à Reuters espérer un rebond de l'or noir vers la fin du second semestre 2015.

Depuis son pic de l'année de quelque 115 dollars le baril atteint en juin, le Brent a perdu près de 50% en raison du décalage croissant entre une offre abondante et une demande atone.

Le recul de l'or noir s'est accéléré depuis la fin novembre, à la suite notamment de la décision de l'Opep de ne pas baisser sa production du pétrole, avec un objectif inchangé de 30 millions de barils par jour.

Pour Ali al Naïmi, la responsabilité de la baisse des cours incombe aux pays producteurs qui n'appartiennent pas à l'Opep et à des spéculateurs.

Le ministre du Pétrole des Emirats Arabes Unis a exhorté tous les pays producteurs à ne pas relever leur production en 2015, notant que ceci permettrait une stabilisation rapide des prix.

"Nous invitons tout le monde à faire ce que l'Opep a fait et de faire un pas vers la stabilisation du marché en ne proposant pas de produits pétroliers supplémentaires en 2015. Si tout le monde respecte la décision de l'Opep, le marché va se stabiliser rapidement", a dit Suhail Bin Mohammed al-Mazroui.

PAS DE COMPLOT!!!!!?4 asdimage001

Selon le ministre du Pétrole saoudien, la faiblesse actuelle des cours du pétrole va contribuer à relancer la croissance économique mondiale et la consommation de pétrole. "J'ai confiance dans une amélioration du marché du pétrole", a-t-il dit lors d'une conférence à Abu Dhabi.

"Les cours actuels n'encouragent pas l'investissement dans le secteur de l'énergie, mais ils stimulent la croissance économique mondiale, ce qui conduira à terme à une augmentation de la demande mondiale (de pétrole)", a expliqué Ali al Naïmi.

Le ministre a parallèlement démenti que la politique pétrolière du royaume sunnite soit dictée par des desseins géopolitiques.

"Les discussions sur un complot que mènerait l'Arabie saoudite à des fins politiques sont sans fondement et démontrent une méconnaissance du sujet. La politique pétrolière du royaume s'appuie sur une stricte base économique, rien de moins, rien de plus", a-t-il affirmé.

L'Iran chiite estime que cette chute des cours, qui affaiblit son économie déjà étranglée par les sanctions occidentales, est une manipulation menée par son grand rival dans la région et ses alliés occidentaux.

Ryad pourrait notamment chercher à réduire le soutien qu'apportent l'Iran, mais aussi la Russie, au régime syrien de Bachar al Assad et, plus globalement, à contrer l'influence croissante de Téhéran dans la région.

D'autres jugent que la politique saoudienne de maintien des cours à un niveau faible viserait à enrayer l'essor des gaz de schiste aux Etats-Unis.

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21 décembre 2014 7 21 /12 /décembre /2014 10:39

01275.jpgL’aventure PLAN commence en 2011, lorsqu’un groupe d’étudiants de l’Université du New Hampshire prend conscience de l’énorme gaspillage qui suit le départ des étudiants à la fin de chaque année universitaire. Faute d’options de stockage pour leurs affaires, les étudiants se débarrassent de toutes sortes d’objets encore parfaitement utilisables. Alors qu’habituellement le campus produit 25 tonnes de déchets par mois, à la fin du printemps, ses bennes débordent de plus de 125 tonnes de déchets. A l’automne, c’est le mouvement inverse qui se produit : les étudiants qui reviennent ou arrivent pour la première fois sur le campus rachètent neufs ces mêmes objets auprès de la grande distribution. 

Pour mettre fin à ce cycle de gaspillage, ce groupe d’étudiants crée le programme « Trash 2 Treasure » (en Français « Du déchet au trésor »). L’objectif : collecter au printemps les objets réutilisables que jettent les étudiants, les nettoyer et les trier pendant l’été, pour les revendre aux étudiants lors de leur retour sur le campus à l’automne. La première vente organisée par « Trash 2 Treasure » est un vrai succès qui permet de dégager des bénéfices pour lancer le premier programme auto-financé, géré par des étudiants. Depuis maintenant trois ans, Trash 2 Treasure a permis de détourner 110 tonnes de déchets de la mise en décharge, de donner 5 tonnes de nourriture et de vêtements à des centres d’hébergement locaux, et de faire économiser aux étudiants et à leurs familles plus de 216 000 dollars en équipement. L’Université du New Hampshire est également gagnante, puisqu’elle a pu économiser 10 000 dollars en dépenses de gestion des déchets.

"PLAN" : DIFFUSER LE ZERO WASTE SUR TOUS LES CAMPUS AMÉRICAINSDSC01537

En 2012, à la fin de leurs études, Alex Freid et Brett Chamberlin, deux des étudiants à l’initiative de Trash 2 Treasure, réalisent que ce qui avait commencé comme un projet étudiant pourrait prendre une plus grande ampleur. Ils créent alors le Post-Landfill Action Network (PLAN), une organisation à but non lucratif dont l’objectif est de lancer des projets étudiants de réduction des déchets sur les campus américains pour les emmener vers le Zero Waste.

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15 décembre 2014 1 15 /12 /décembre /2014 09:59
INTERNATIONAL SUMMER SCHOOL IN FORCED MIGRATION
06-24 July 2015
Refugee Studies Centre, University of Oxford
www.rsc.ox.ac.uk/summer-school
SAM 0478
Applications are invited for this year's International Summer School in Forced Migration, to be held at Wadham College, Oxford. The Summer School, now in its 26th year, offers an intensive, interdisciplinary and participative approach to the study of forced migration. It aims to enable people working with refugees and other forced migrants to examine critically the forces and institutions that dominate the world of the displaced. Beginning with reflection on the diverse ways of conceptualising forced migration, the course considers political, legal and wellbeing issues associated with contemporary displacement. Individual course modules also tackle a range of other topics, including globalisation and forced migration, and negotiating strategies in humanitarian situations.
The participants.
Typically comprising more than 40 nationalities, Mid-career and senior practitioners involved with assistance and policymaking for forced migrants and researchers specialising in the study of forced migration. The course, which is residential, is held in Oxford. Teaching is conducted in English. 
The teaching.
Lecturers and tutors include research staff, academics and professionals from the Refugee Studies Centre and other world-class institutions, drawn from a number of disciplines and practices including law, anthropology, politics, and international relations.
Sponsorship
Asfari Foundation and Saïd Foundation bursaries are available for Summer School candidates who work on refugee-related issues from Palestine, Lebanon and Syria (or Palestinians and Syrians resident in the Arab world). Candidates wishing to be considered for a bursary must apply directly via the International Summer School office and not the Foundations. Please note the deadline for all bursary applications to the International Summer School is 1 March 2015. For any enquiries please contactsummer.school@qeh.ox.ac.uk
Fees: £3,300$
Applications Online: www.rsc.ox.ac.uk/summer-school
For further information and an application form, please visit our website or contact Heidi El-Megrisi International Summer School Manager Refugee Studies Centre Oxford Department of International Development University of Oxford
3 Mansfield Road
Oxford, OX1 3TB
United Kingdom
tel: +44 (0)1865 281728/9
fax: +44 (0)1865 281730
email: summer.school@qeh.ox.ac.uk  
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9 décembre 2014 2 09 /12 /décembre /2014 08:46

Lima 8 décembre 2014

L’Afrique dispose d’un énorme potentiel en matière d’énergies renouvelables qui  peuvent devenir un principal moteur d’une  croissance durable. Mais ce développement  des énergies renouvelables reposerait sur  des solutions favorables aux économies  d’échelle et offrirait des avantages considérables en termes de développement  équitable, de création de valeur à l’échelle locale, de sécurité énergétique et de 
viabilité environnementale. Cette transformation sans précédent ne  sera possible que si les décideurs déploient  des efforts concertés pour mettre en place  des mécanismes permettant de stimuler  des investissements et de faciliter le  développement du secteur au moyen de  politiques pertinentes et de collaboration  au niveau régional.
Promouvoir l’accès aux services 
énergiques en Afrique devient une urgence…
Les chiffres relatifs au déficit énergétique en Afrique sont assez parlants: 
  •  31 % seulement des Africains ont accès à l’énergie ;
  • la consommation du continent, hors Afrique du Sud,représente environ1%  de celle des pays industrialisés (soit de quoi alimenter une ampoule par habitant trois heures par jour) ;
  • l’Afrique devrait installer 7 000 MW de nouvelles capacités de production par an mais le taux actuel tourne plutôt autour de 1 000 MW ;
  • au rythme actuel d’électrification des pays, la plupart ne parviendront même pas à assurer un accès universel d’ici 2050;
  • Les grosses installation industrielles de production d'électricité représente plus:
de 40 % des 23 milliards de tonnes de CO2 émis annuellement dans le monde. En substituant le gaz naturel au charbon comme combustible, on pourrait diviser par 2,5 les émissions de CO2 par unité 
d’énergie produite. Il faudra trouver la stratégie pour remplacer progressivement les énergies fossiles riches en carbone par des énergies qui n’émettent pas ou émettent peu de CO2.Il est alors urgent de discuter à LIMA également de comment contraindre les états  à se détourner des politiques de production d’énergie fossile tout en encourageant des initiatives innovantes aux énergies renouvelables._0041.jpg

source:SDD

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8 janvier 2013 2 08 /01 /janvier /2013 10:24

SDC11244Skikda le 02 janvier 2013

 

A Monsieur le conservateur des forêts de la wilaya de Skikda

Réf : P/01L2013

 

Objet : Stop à la déforestation de la zone humide Guerbes-Senhadja

 

Monsieur le conservateur des forêts,

 

Les forêts, sont des formations végétales indispensables à la vie sur Terre. De plus, la forêt de GHERBEZ SANHADJA abrite de nombreux "points chauds" de  biodiversité et joue un rôle prépondérant dans la fixation du CO2 que nous émettons massivement par nos activités quotidiennes  et qui perturbe dangereusement notre climat (d’ailleurs, 40% du carbone terrestre est stocké dans la végétation et les sols des forêts).

 

Indépendamment des aspects techniques de la  forêt et du changement climatique, et sur ce qui concerne les inventaires de carbone dans cette dernière et l’évaluation de son rôle  dans son cycle, dans l’adaptation aux changements climatiques et l’atténuation de leurs effets ,il convient de souligner que l’importance, l’originalité biogéographique et écologique ainsi que la vulnérabilité de ces écosystèmes humides sont reconnues à l’échelle internationale et méritent qu’on leur accorde un intérêt particulier, ce qui a permis d’ériger en sites « Ramsar » les aulnaies du complexe des zones humides de la plaine de Guerbes-Senhadja.

 

Malheureusement avec les feux de forêt pas toujours accidentels, l'exploitation illégale du bois  et L'expansion agricole sont les principales causes de déboisement de cette zone.

 

Effectivement, Beaucoup d’agriculteurs dans la région de GUERBEZ -SANHADJA pas toujours pauvres, participent aussi à la déforestation ; ils défrichent et brûlent la forêt pour ensemencer de petites parcelles de terres.

 

Indubitablement, depuis plus de 4 mois, nous sommes confrontés à un désastre écologique sous les yeux des services concernés sur les lieux ; À l’aide d’engins « tractopelles » les  arbres  rares « l’aulne »  sont arrachées sur des centaines d’hectares pour laisser place à la pastèque.

 

Hélas, depuis des années cette magnifique zone est ravagée par une horde de mafia du sable qui utilise tout les moyens subterfuges pour piller ces richesses. Par ailleurs le surpâturage par les bovins, les ovins et les caprins ainsi que les facteurs anthropiques tel que les incendies, agrandissement des parcelles agricoles et arrosage des cultures par pompage aggrave la détérioration cette zone humide qui s’étend sur plus de 42000 hectares.

 

Autre part, les retombés de l’aide conséquente allouée par le PNUD pour l’élaboration d’un plan de gestion intégrée du site RAMSAR du complexe des zones humides (Le projet devrait contribuer au développement d’un plan de gestion intégré du bassin versant de la plaine humide de Guerbès) ne sont pas visibles sur le terrain.

 

Partant du principe que  l’environnement, se sont les ressources naturelles abiotiques et biotiques telles que l'air, l'atmosphère, l'eau, le sol et le sous-sol, la faune et la flore y compris le patrimoine génétique, les interactions entre les dites ressources ainsi que les sites, les paysages et les monuments naturels. Et que la pollution, c’est Toute modification directe ou indirecte de l'environnement provoquée par tout acte qui provoque ou qui risque de provoquer une situation  préjudiciable pour la santé, la sécurité, le bien-être de l'homme, la flore, la faune, l'air, l'atmosphère, les eaux, les sols et les biens collectifs et individuels.

 

Sur le plan juridique  l’existence de la loi  n° 2003-10 du 19 Joumada El Oula 1424 (19 juillet 2003) relative à la protection de l'environnement dans le cadre du développement durable :

 

Vu l'ordonnance n° 73-38 du 25 juillet 1973 portant ratification de la convention concernant la protection du patrimoine mondial, culturel et naturel faite à Paris le 23 novembre 1972;

Vu la loi n° 84-12 du 23 juin 1984, modifiée et complétée, portant régime général des forêts.

 

Vu le décret n° 82-437 du 11 décembre 1982 portant ratification du protocole de coopération entre les pays d'Afrique du nord en matière de lutte contre la désertification, signé au Caire le 5 février 1977;

 

Vu le décret n° 82-439 du 11 décembre 1982 portant adhésion de l'Algérie à la convention relative aux zones humides, d'importance internationale, particulièrement comme habitat de la sauvagine, signée à Ramzar (Iran) le 2 février 1971;

 

Vu le décret n° 82-440 du 11 décembre 1982 portant ratification de

La convention africaine sur la conservation de la nature et des ressources naturelles, signée à Alger le 15 septembre 1968;

 

Vu le décret présidentiel n° 95-163 du 7 Moharram 1416 correspondant au 6 juin 1995 portant ratification de la convention sur la diversité biologique signée à Rio de Janeiro le 5 juin 1992.

 

Il est important que le secteur forestier  chez nous trouve des méthodes pour affronter, dans le cadre de politique forestière nationale, les défis et les opportunités que présentent l’adaptation aux changements climatiques et l’atténuation de leurs effets.

Les programmes forestiers nationaux ont été reconnus par le dialogue international sur les forêts comme étant le cadre servant à l’application des accords internationaux et comme la plateforme pour prendre en charge les problèmes liés à la gestion durable des forêts et du changement climatique.

A cet effet, nous sollicitons la conservation des forêts de SKIKDA pour qu’elle prenne ces responsabilités afin :

·         D’arrêter la déforestation  qui est indispensable pour stabiliser le climat,

·         D'interdire la conversion des forêts en monocultures ou l'exploitation  du bois,

·         De protéger les eaux de l’arrosage avec  pompes pour l’irrigation des terres,

·         De protéger le sable des pailleurs,

·         D’instruire les anciens bénéficiaires  des sablières, la remise en état des sites exploités selon le cahier des charges,

·         De Protéger la zone humide.

Par ailleurs le mouvement associatif de par sa responsabilité sociétale reste vigilant et s’implique pour sensibiliser, éduquer, dénoncer les actes passifs, actifs et ester les auteurs directs ou indirects de ces crimes contre la nature et par voie de conséquence contre la zone humide.

A cet effet nous vous prions monsieur de nous prêter main forte afin de mettre fin à ce péril.

Copie pour information :

·         Monsieur le wali de Skikda

·         Monsieur le chef de daïra de Benazzouz

 

 

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