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24 décembre 2012 1 24 /12 /décembre /2012 16:17

 

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Synthèse de la mission

C’est la première COP à avoir lieu depuis l’établissement de la « Plateforme de Durban pour une action renforcée » qui, au terme de la Conférence de Durban (CD-17; Nov/Déc. 2011), a fait sauter le verrou du Plan d’action de Bali en établissant un nouveau groupe de travail chargé d’élaborer le régime climatique post-2020, qui pourrait prendre la forme d’un protocole, d’un instrument juridique ou d’un résultat concerté ayant force de loi. Ce nouveau régime, qui inclura toutes les Parties, devra être achevé au plus tard en 2015 et entrer en vigueur en 2020.

Pour éviter un vide juridique entre la première période d’engagement au Protocole de Kyoto (qui va prendre fin le 31 Décembre 2012) et l’entrée en vigueur du régime climatique post-2020, les pays industrialisés – à l’exception du Canada(fuite anticipée du PK) , des États-Unis et du Japon et de la Russie(qui sont sorties du PK à Doha) – ont accepté de s’engager pour une seconde période d’engagement. Par conséquent, le succès des négociations de la Plateforme de Durban était intimement lié aux discussions qui ont lieu à Doha en vue de reconduire le Protocole de Kyoto après 2012.

 

 

Les principaux axes de la COP18 :

1) La réduction (mitigation) des émissions

2) L’adaptation (adaptation) aux changements climatiques

3) Le financement          

4) Développement des technologies et leur transfert

5) La transparence et le renforcement des capacités

L’une des principales difficultés de cette nouvelle négociation résidait donc dans le fait de parvenir à un consensus sur la forme juridique de l’accord : protocole à caractère contraignant, accord à caractère volontaire… L’atteinte d’un accord à la hauteur des enjeux ne pourra se faire sans construire au préalable un cadre de confiance solide entre les pays.

Donc les négociations ne pouvaient avancer que l’option solidaire et équitable avec ces 4 approches (historique, optique, technique et en termes de moyens mis en œuvre) ne soit l’axe de rotation des ces négociations particulièrement pour la société civile présent au COP18.

Contribution de notre association lors de la COP18

Indépendamment de notre participation aux différentes plénières  et workshops permettant le renforcement des capacités et la compréhension de la problématique du changement climatique, nous avons tissé des relations de partenariat et d’amitiés avec plusieurs ONG du monde entier qui partagent avec nous les mêmes préoccupations (protection de l’environnement, changement climatique, développement durable, promotion des énergies renouvelables, pauvreté, bonne gouvernance démocratie participative) tel que :

CAN (climate action network)GEF (global environment facility),ASCN(association royal protection environment Jordon),UKYCC(UK youth climate coalition),APN(arab protection of nature),le Club des Ami(e)s de la Nature Qatar, FFT(forest fruit trees),Qatar University ,RADDO(réseau  associatif développement durable des oasis),AFED ,IETA ,CMS environment ,SOLESA ,AJD(action jeunesse pour le développement), ICMM,IETA(international emission trading association),INTO,GHG(management institut) , Qatar Fondation…etc.

Aussi il est important de signaler nos contacts fructueux avec UNDP (AHD) Beirut Lebanon.

Les pays arabes entre mythes et réalité

Comme on le sait tous, c’est pour la première fois dans l’histoire des négociations CCNUCC, une COP s’est tenue dans un pays du moyen –orient. Le Qatar, qui appartient à cette riche région du golf persique, a hébergé la 18éme conférence des parties.

Ainsi le mouvement des ONG Arabes et particulièrement celui du Qatar étaient sous les feux des projecteurs, stimulés par cette particularité, interpellaient leurs dirigeants : « pays arabes, soyons leader sur les négociations climatiques », le Moyen-Orient et le Maghreb du Nord subissent les conséquences du changement climatique. Ils n’ont pourtant jusqu’à présent pas engagés de changement majeur de notre politique énergétique.

« Le printemps arabe » a mis relativement  en place des conditions favorables, d’un pays à un autre sur le plan social mais surtout sur l’implication de la jeunesse dans les affaires publiques, il a également fait émerger un « printemps climatique » ; d’ailleurs beaucoup de jeunes activistes n’hésitent plus à interpeller leurs gouvernements à agir sur le plan de mitigation et de l’adaptation afin de réduire l’impact des changements climatiques.

En étroite collaboration, plusieurs ONG ont organisé des événements et des activités en marge de la COP18 afin d’influencer les positions nationales et internationales et faire pression sur les parties pour rehausser l’ambition de cette COP.

On pense que nous avons fait de notre mieux pour que nos  pays (surtout ceux qui émettent des quantités importantes de CO2) prennent des engagements chiffrés de réduction, s’engagent sur la période pré-2020 et contribuent à construire un accord international juridiquement contraignant afin d’assurer au monde un futur climatique soutenable.

Principaux « events » de participation de bariq21

 Arab Group for the Protection of Nature (APN): Title: Climate change and human rights: dealing with crisis and conflict

 

 Bahrain Women Association for Human Development: Title: Gender and climate change in the Arab region

 

 League of Arab States:Title: Climate Change Vulnerability and Impact Assessment: Initiatives for Adaptation in the Arab Region

 

Arab Youth Climate Movement (AYCM):Title: 100 Million Arab Youth: Climate challenges and Solutions

Qatar National Food Security Program (QNFSP), United Nations Development Program (UNDP):Title: Understanding Water and Food Security Challenges in the Arab Region

 

IUCN - International Union for Conservation of Nature:Title: Climate change and coastal and marine areas in the Arab region

 

Fond vert pour le climat

 

Le secrétariat du Fonds Vert siègerait à Songdo, en Corée du Sud

100 milliards de dollars annuellement à partir de 2020

Position de l’Algérie

L’Algérie qui présidait le groupe G77+la Chine a fait des propositions pertinentes à la hauteur des ambitions des populations, telle que celle concernant la réduction efficace de l’utilisation de l’air chaud en 2ème période du protocole de Kyoto, met fin aux transactions de permis d’émission, et surtout annule définitivement l’excédent à la fin de la deuxième  période de Kyoto. Elle, a souligné trois principaux piliers d'un résultat de Doha : une seconde période d'engagement ambitieuse, qui permettrait un niveau plus élevé des ambitions de toutes les parties de l'Annexe I ; le financement de l'AWG-LCA et un traitement équilibré de tous les éléments dans le cadre de l'ADP, sans oublier le financement du changement climatique en Palestine.

Conclusion bariq21

On ne fait pas de la promotion du pessimisme mais la réalité est bonne à dire par devoir  à la société civile, particulièrement aux générations futures ; Effectivement après Copenhague, puis Cancun et Durban et maintenant Doha : les conférences sur le changement climatique se suivent… sans que les promesses internationales en matière de réduction des émissions de CO2 ne s’améliorent vraiment. Pourtant, à chaque fois, les hypothèses les plus pessimistes des scientifiques sur la recrudescence de la température moyenne de la planète se confirment. Les signaux sont tous au rouge. La banquise a atteint son plus bas niveau jamais enregistré en septembre. Les évènements climatiques extrêmes se multiplient (tornades et vents violant). La montée du niveau de la mer est toujours plus rapide. Les réfugiés climatiques se comptent déjà par dizaines de millions.Davantage de sécheresse estivale, accentuation des fortes chaleurs dans les agglomérations et des villes, des inondations avec aggravation du risque de crue ,fragilisation des pentes et l’augmentation des mouvement de terrain, la dégradation de la qualité de l’eau ,des sols et de l’air, la modification des milieux naturels, de la composition des espèces et des paysages, avec propagation d’organismes nuisibles, de maladies et d’espèces exotiques.

Ils n’ont pourtant jusqu’à présent pas engagés de changement majeur de la politique énergétique et  environnementale, et n’ont pas manifestés amplement l’intention de s’impliquer réellement et concrètement dans les négociations internationales. 

 D’ailleurs, la Banque mondiale s’alarmait en novembre dernier d’un risque de hausse de la température mondiale de + 4°C d’ici 2060, soit près du double du plafond de + 2° C retenu par la communauté internationale pour limiter tout risque d’emballement climatique et d’effets non maîtrisables. On se disait que la conférence de Doha pouvait permettre de sortir enfin du brouillard de la politique climatique… mais  en vain !

 

Cependant, on dirait même que les conclusions de 15 jours de tractations sont particulièrement loin des espérances de la société civile qui n’a épargné aucun effort pour faire aboutir des résultats chiffrés et concrets. La prolongation des accords de Kyoto jusqu'en 2020, actée en fin de sommet pour ne pas sortir à vide de cette conférence, ne concerne plus que 15 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre ! Au final donc, une coquille vide, sans réelles contraintes, ni précisions chiffrées. Et aucun autre objectif contraignant envisagé pour les principaux pays émetteurs. Quant aux moyens de financer l’aide des Pays en voie de développement et aux pays pauvres ainsi qu’aux  iles menacées de disparition  en faveur de la lutte (mitigation) et de l’adaptation au changement climatique, elle demeure dans le flou. La finance du Nord avant tout !

Pour être objectif et par devoir de vérité toujours envers la société civile, la Conférence de Doha a relevé plusieurs défis de taille, à savoir:

La reconduction du Protocole de Kyoto pour une 2e période d’engagement (Trop d'années   de durs labeurs auraient été perdu s’ils n’avaient  pas renouvelé Kyoto),en vue de son entrée en vigueur immédiate (le 1er janvier 2013)

Place de la femme dans les négociations du climat : Rare « accomplissement historique » à Doha : un accord sur un objectif d'équilibre entre hommes et femmes dans les instances de négociations sur le climat.

L’opérationnalisation des mesures convenues sur l’action concertée à long terme et la détermination où  se poursuivront les discussions sur les éléments en suspens du « Plan d’action de Bali » ;

La  détermination du  comment seront utilisés les fonds destinés aux pays en développement ;

Le lancement des négociations de la « Plateforme de Durban » sur des bases solides.

L’expression «perte et  dommages causés par le changement climatique» a été inscrite dans un document juridique international

L'UE, l'Australie, la Norvège, la république Dominicaine et une poignée d'autres pays développés ont accepté de prendre de nouvelles cibles de réduction du carbone en vertu du traité

L’intention du secrétaire général de l'ONU  Ban Ki-moon de convoquer un sommet des dirigeants mondiaux sur le changement climatique en 2014 peut donner un nouvel élan politique à ce travail.

A Doha,la structure même des négociations a changé. Avant, il y avait différents groupes de travail fondés sur la distinction nette entre les pays développés et en développement. Maintenant, il y a un forum de négociation qui est la plate-forme de Durban, pour tous les pays.

Résolution du  problème de longue date de «l'air chaud» - excédent de crédits de carbone inutilisés de la première période de Kyoto.

Mise place des nouvelles règles d'empêcher la création d'air chaud supplémentaire.

Les 7 milliards € de l’UE dans des fonds climatiques pour 2013 et 2014.

La mise en place du plan de travail pour la fatidique date de 2015 à Paris.

La Conférence de Doha était  également l’occasion, pour les États parties, de reconnaître les actions déjà entreprises par les gouvernements, le secteur privé et la société civile, et les encourager à faire davantage.

En toute état de cause  et pour clôturer cette synthèse, on dirait  par honnêteté intellectuelle  et par devoir de vérité , que  les pays classés comme développés en 1997 doivent continuer à supporter l'essentiel du fardeau des réductions d'émissions, fournir des fonds aux pays pauvres pour les aider à réduire leurs émissions(mitigation) ,à faire face avec le changement climatique (adaptation) avec un transfert de technologie et un renforcement des capacités par un financement transparent.

Aussi, on est persuadé que sans équité et ambition, il n’y aura pas d’accord en 2015 surtout que si la volonté politique ne sera pas au rendez-vous parmi les pollueurs majeurs, le vent tourne inéluctablement  mais « métaphoriquement et météorologiquement » si j’ose écrire. Et pour passer de l’ère  du charbon, du pétrole et du gaz vers un système qui protège le climat, facilite l’accès aux énergies propres et par voie de conséquence assurer une vie digne aux les générations futures, il est indispensable  de bâtir ensemble une passerelle  basée sur la solidarité, le transfère technologique, le renforcement des capacités et le partage.

Alors pour être à la hauteur des espérances des générations futures, on ne dirait pas « wait and see » mais plutôt « act today for a better tomorrow »

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4 juillet 2012 3 04 /07 /juillet /2012 13:42

 

 

LE GRANG VIRAGE,L'hôtel de ville de SKIKDA se met au vert

A l’occasion du cinquantenaire de l’indépendance nationale (1962 /2012) l’association bariq21 pour la promotion des énergies renouvelables et le développement durable a décidé de célébrer  à sa manière l’évènement  par la mise en place du deuxième chauffe –eau salaire à Skikda et le premier sur le plan national  à travers  son emplacement à savoir au niveau de la mairie de Skikda.

Effectivement un  chauffe –eau salaire de production nationale (THERMOKAD : Entreprise Algérienne  privée) de capacité de 400litres sera installé sur l’édifice de l’Hôtel de ville de SKIKDA  qui permettra une économie substantielle de gaz naturel (propriété en commun avec générations futures entre autre) et qui n’émettra aucun gaz nocif pour l’environnement (GES).

 

Les objectifs recherchés par cette action :

 

 Après 50 ans d’indépendance, il utile de conjuguer nos efforts pour faire sortir notre économie de sa dépendance aux énergies fossiles, et passer à une économie  verte génératrice  d’une plus-value renouvelable. 

 œuvrer à inculquer la culture de l’environnement et de l’alternative énergétique aux enfants.

 Vulgarisation de l’utilisation des chauffe –eau solaire  dans les écoles primaires et les institutions de l’Etat.

 Transmettre un signe fort pour le prochain locataire de l’hôtel de ville de SKIKDA  afin qu’il place  la problématique environnementale  et l’amélioration du cadre de vie des citoyens et des générations futures en tête  des principales priorités de son action lors de son mandat.

 

Important

 

En cas de manque d’énergie solaire(en hiver), on peut utiliser de l’énergie électrique (l’eau chaude disponible durant les 04 saisons)

 

Caractéristiques  du chauffe-eau solaire

img077.jpg

Capacité : 400litres

Nombre de capteur : 03

Température max continue : 80c°

Puissance : 4200wattes

Accessoires compris : Résistance, Thermostat, Anode de magnésium, Groupe de sécurité.

 

 

 

 

Le Président

MOHAMED TABBOUCHE

 

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29 mars 2012 4 29 /03 /mars /2012 18:30

PAS

DSC05960.JPGAprès plusieurs réunions au niveau du siège de l'association bariq21 les présidents d'associations  membres  du pôle décident ce jour la, le 18/03/2012 ce  qui suit:

Les 4 objectifs généraux du pôle:

01-         construire et développer des liens de solidarité, de coopération et de communication entre les déférentes associations.

02-         Militer et parler de la même voix vis-à-vis des pouvoirs publics et des collectivités locales en ce qui concerne des difficultés par les associations et les aspirations de la population.

03-         Œuvrer pour l'encouragement du dialogue permanent et valorisant avec les déférentes  institutions.

04-         Travailler pour élever le niveau des activités et de la société civile à skikda.

Ce pôle est constitué de plusieurs  associations actives de Skikda:-bariq21 pour la promotion des énergies renouvelables et le développement durable.

-         association pour la protection sociale

-         association pour la promotion de la femme rurale

-         association (club) MOUATTE SKIKDA

et d'autre associations mais et restera ouverte à toutes les ONG de notre wilaya qui veulent u participer

DSC05941-copie-1.JPG

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20 mars 2012 2 20 /03 /mars /2012 12:08

 

L’association BARIQ21 pour la promotion des énergies renouvelables et le développement durable en collaboration avec DESERTEC fondation  organise une conférence débat qui a pour thème

« LE CONCEPT DESERTEC ET L’AVENIR ENERGETIQUE DE L’ALGERIE »

photo-conferenceFINALE.JPG

animée conjointement par deux experts :

  • Dr Mustapha MEKIDECHE vice président du CNES (Conseil National Économique et Social)
  • Dr Mouldi MILED Co-founder and Executive Director of DUN (Desertec University Network).

 

la conférence  qui aura lieu le samedi 24 mars 2012 à 14h00 au niveau de l’hôtel de ville de Skikda

cette conférence  sera un signe fort de notre engagement en faveur de la préservation du cadre de vie des générations futures.

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15 octobre 2011 6 15 /10 /octobre /2011 17:32

DSC05126.JPG

  

Le président de bariq21 (Tabbouche Mohamed) et le directeur de l’ANGEM (Draoui Abdelkrim) 

 

 

Aujourd’hui, samedi 15 octobre 2011 à 10H et en présence de la radio DSC05108.JPGlocale(ELHADI WOULHASSI), des journalistes de presse écrite(le soir d’Algérie(ZAID ZOHEIR), l’est républicain(MOHAMED OUDINA), le quotidien d’Oran(AHMED BOUDROUMA) et celle de l’APS( IPTISSAM WADI),  L’association BARIQ21   et L’agence nationale pour la  gestion du microcrédit "ANGEM" singeront une convention de partenariat et de coopération en faveur des jeunes investisseurs dans le domaine du développement durable au niveau du siège de bariq21 sis   cité Mohamed Namous N°8 SKIKDA.

 

Plusieurs projets sont retenus en première phase :

1)   01 projet de fabrication et installation  des chauffes- eau solaire.

 

 

2)   02 projets de création d’espace vert

3)   01 projet de nettoyage mécanique  des plages.

4)   02 projets de recyclage (recyclage du plastique et un autre recyclage du papier).

5)   01 projet d’éclairage solaire.

 

 

Les jeunes investisseurs seront en parallèle formés sur  le montage financier des projets d’investissement et sur l’entreprenariat.

 

La formation sera assurée par Bariq21 et l’ANGEM.

 

Les jeunes investisseurs seront accompagnés durant leur projet aussi  ils seront assistés durant l’écoulement de leurs produits ou services pour que les entreprises crées soient pérennes.

DSC05132.JPG

 

 

 

 

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2 octobre 2011 7 02 /10 /octobre /2011 20:00

Nous remercions tous ceux qui ont contribué à la réussite de cet événement:

La radio de Skikda (Directeur, journalistes et techniciens).

La gendarmerie nationale à leur tête le capitaine Kara.

La police nationale surtout Melle BECHIRI et Mr SAHAB.

Le Directeur des eaux et forêts Mr Rahal.

Et toutes les familles et enfants qui étaient au RDV sur les allées du 20Aout 55.

 

DSC04971

ECO GESTES

- Je laisse ma voiture au garage (en ville, 50% des trajets en voiture

 font moins de 3kms).

 

- Je choisis la marche, le vélo ou bien les transports en commun

(le Bus par km et par personne consomme 15 fois moins d’énergie

 que la voiture).

 

- Je pratique le covoiturage : économique, écologique

et convivial !!

 

- Je conduis cool et respecte les limitations de vitesse.

 

- J’évite la climatisation c’est 1 à 2,5L de carburant / 100 kms en plus.

 

-         En vacances, je préfère le train à l’avion : un trajet Skikda Alger

-         pour une personne c’est 178 kg de CO2 en voiture,

-         97kg en avion, 3kg en train.

 

 

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DSC05019
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1 octobre 2011 6 01 /10 /octobre /2011 19:15

Bariq21 toujours au Rendez-vous

 DSC04939DSC04933-copie-1.JPG

A Alger, au palais des Nations, Club des Pins, dans une atmosphère très relaxée, une présence étoffée par des personnalités très importantes, Nationales et Etrangères, à l’instar de M. Le Ministre de l’Aménagement du Territoire et de l’Environnement, M. Le Ministre des Ressources en Eau, Madame Maria Luiza SILVA MEJIAS, Madame Zeljka SKARICIC, plusieurs ambassadeurs et un nombre considérable d’associations représentantes de la Société civile Algérienne, Bariq21 l’une des ONG pionnière dans le domaine environnemental, a eu comme toujours à enrichir par sa présence le débat par une allocution inscrite au nom de toutes les associations militantes dans le domaine de la protection de l’écosystème. Mère Méditerranée est en fait notre Mer qui nous a tant donné et qu’en retour on a le devoir de sauvegarder et protéger. Tels ont été les propos de cette allocution qui sera éditée prochainement sur le blog. Nous remercions vivement Monsieur Chérif RAHMANI Ministre de l’Aménagement du Territoire et de l’Environnement pour son attention particulière au mouvement associatif et son soutien officialisé par un ensemble de décisions prises en plénière et des instructions directes aux différents représentants de son ministère présents en salle relatives aux préoccupations soulevées par Monsieur TABBOUCHE Mohamed, Président de l’association Bariq21 mandaté par toutes les ONG présentes.

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4 août 2011 4 04 /08 /août /2011 17:23
BRAVO Mr HOCINEDSC04489.JPG

Nous avons fêté la réussite au Bac2011 de notre secrétaire général monsieur Hocine NAKIB, les membres de l’association sont fiers de leurs SG qui a 47 ans. Il entame des études de droit à la rentrée à l'université de Skikda.DSC04475.JPG
Pas mal !!!!! Bonne continuation …..

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13 mai 2011 5 13 /05 /mai /2011 15:22

DSC00740.JPG Le Président de bariq21 avec Ken Morgan,director of the energy institute (TEXAS  USA  nov2008)

Fracturation hydraulique = contamination de l'eau ?

Les députés ont approuvé, mercredi 11 mai, par 287 voix contre 186 l'interdiction de la technique de la fracturation hydraulique pour l'exploration et l'exploitation des gaz et huiles de schiste en France (Lire l'article détaillé du Monde, en édition abonnés).

Présent quasiment partout sur la planète, le gaz de schiste est un gaz naturel piégé dans la roche sédimentaire au lieu d'être concentré sous forme de poches.

La technique de la fracturation hydraulique consiste, pour libérer les gaz et les huiles, à injecter de fortes quantités d'eau mélangée à du sable et des ajduvants chimiques, ce qui a des conséquences désastreuses pour l'environnement (pollution des nappes phréatiques, utilisation massive d'eau, etc.).

Les groupes UMP et du Nouveau Centre (NC) ont voté pour ce texte présenté par Christian Jacob, le président du groupe UMP. L'opposition, jugeant que ce texte ne ferme pas la porte à l'exploitation et à l'exploration de ces hydrocarbures par d'autres méthodes, a voté contre cette proposition de loi que le Sénat examinera à son tour le 1er juin.

Le texte n'évoque en effet que la fracturation hydraulique et l'abrogation des permis de recherches qui y ont recours, ce qui ouvrirait potentiellement la voie à l'utilisation d'une autre technique.

Au nom de la Charte de l'environnement et du principe de précaution, l'article 1 "interdit sur le territoire national l'exploration et l'exploitation des mines d'hydrocarbures liquides ou gazeux par des forages suivis de fracturation hydraulique de la roche".

L'article 2 donne deux mois aux titulaires de permis de recherche pour déclarer à l'administration la technique qu'ils comptent employer pour explorer.

Si cette information n'est pas transmise dans les deux mois, ou s'il est indiqué que le titulaire du permis a recours à la fracturation hydraulique, le permis accordé par le gouvernement sera abrogé.

HOSTILITÉ DES ÉCOLOGISTES

A l'issue d'une longue nuit de débat entre mardi et mercredi, l'Assemblée n'a que très peu modifié le texte issu de la commission, qui cristallise la colère de toute la famille écolo : ils étaient ainsi plusieurs centaines à manifester leur hostilité au projet, mardi devant le Palais-Bourbon, parmi lesquels Eva Joly, José Bové et Nicolas Hulot, qui se sont affichés ensemble pour "faire pression" sur les députés.

La ministre de l'écologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, qui a apporté le soutien du gouvernement à ce texte, a reconnu que les premiers permis accordés ne l'ont "pas été dans de bonnes conditions" et que "les choses ont été faites à l'envers".

"Avec ce texte, c'est l'occasion d'aller plus loin dans la mise en œuvre du principe de précaution", a-t-elle dit en assurant, à propos de l'article 2 de la proposition de loi, qu'il "s'agit bien d'abroger tous les permis de recherche qui n'ont plus de raison d'être après l'interdiction [de la fracturation hydraulique]".

Le groupe socialiste, qui avait semblé dans un premier temps accepter la version du texte mise au point par la Commission du développement durable, a fait marche arrière. "C'est un texte qui ne tient pas du point de vue juridique", a dit Pascal Terrasse (PS).

"Nous ne vous faisons pas confiance", a-t-il ajouté à l'adresse des députés de la majorité en demandant l'abrogation totale de tous les permis d'exploitation accordés.

source:le monde

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10 mai 2011 2 10 /05 /mai /2011 17:34

DSC03341.JPGBariq 21 a été invitée à participer à la simulation de lutte contre la pollution marine « TEL-BAHR2011 »

 

 

 

 

 

 

 

L’association bariq21 pour la promotion des énergies renouvelables et du développement durable a participé à l’exercice de lutte contre la pollution marine « TEL-BAHR2011 » sur la côte de SKIKDA le 10Mai 2011.

 

Les objectifs recherchés :

 DSC03300.JPG

1)      enrichissement de l’expérience déjà acquise en matière de lutte contre la pollution marine.

2)      Evaluation des délais de réaction des intervenants et des techniques de lutte.

3)      Amélioration de la coordination entre les différents intervenants concernés.

4)      Recensement des moyens des moyens de lutte disponibles et évaluations de leur efficacité.

5)      Maîtrise en matière d’enquête nautique et l’élaboration du dossier d’indemnisation. DSC03334.JPG

 

L’exercice s’est déroulé en quatre phases :

       1)      phase d’alerte

       2)      phase de sauvetage

       3)      phase de déclanchement des plans TEL-BAHR

       4)      phase d’enquête nautique et de constitution de dossier d’indemnisation.

 

La société civile a été représentée par l’association Bariq 21 et d’autre ONG qui activent dans la protection de l’environnement, en participant au nettoiement des plages après que barrage flottant qui entour le produit puis le transporter jusqu’au rivage.

 

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